Bonjour à vous qui pénétrez sur mon blog Mi-ange/Mi-démon. Tout d’abord, pour les personnes âgées de moins de 18 ans, merci de cliquer sur la petite croix rouge en haut à droite et BYE.

Bon maintenant que nous sommes entre adultes, je vous laisse découvrir ce blog. J’ai la chance de jouer dans le monde de la fessée, avec deux hommes, un que j’appelle « mon chenapan » et un autre qui est mon Educateur. Si j’ai fait ce blog, c’est pour vous faire partager la complicité que je vis avec l’un comme avec l’autre.

Vous trouverez donc des récits de l’éducation de mon chenapan, de mon éducation par mon Educateur, de fessées que j’ai reçues ou données avec d’autres personnes. Il y a aussi des récits tirés de mon imagination comme un long récit sur la vie au pensionnat, Aline et Thierry et d’autres.

J’ai essayé de classer cela par sujet et que j’alimenterai régulièrement. J’espère que vous vous y retrouverez et aurez plaisir à y revenir. Merci pour votre visite et n’oubliez pas les commentaires, cela fait toujours plaisir.

vendredi 18 avril 2014

Samedi matin... avril 2014


Il est 8h30 et j’entends des pas dans les escaliers, c’est Italo qui arrive pour me réveiller, la porte s’ouvre, je fais semblant de dormir. Il approche et je sens une main se poser sur mes fesses et il les caresse. Il aime, j’aime, on ne se prive pas. Puis un petit bisou atterrit sur ma joue, et il me dit :

samedi 12 avril 2014

Vendredi soir... avril 2014


Et voilà notre semaine s’achève, Italo vient de repartir, je l’ai déposé à la gare du RER et il repart chez lui. Mes yeux se remplissent de larmes quand je suis dans ma voiture, je déteste les « au revoir » ainsi sur un quai, de toute façon je déteste quitter les gens que j’apprécie ! Mais là, après cette semaine intense en plaisir, j’ai le cœur gros mais c’est ainsi, je connais les règles du jeu.

samedi 5 avril 2014

Le martinet de Blanche

Il est tout simple. Un martinet comme il y en avait dans toutes les maisons dans les années cinquante. Blanche m'ayant provoqué par je ne sais quelle nouvelle insolence, j'ai exigé qu'elle aille elle-même acheter SON martinet.