Bonjour à vous qui pénétrez sur mon blog Mi-ange/Mi-démon. Tout d’abord, pour les personnes âgées de moins de 18 ans, merci de cliquer sur la petite croix rouge en haut à droite et BYE.

Bon maintenant que nous sommes entre adultes, je vous laisse découvrir ce blog. J’ai la chance de jouer dans le monde de la fessée, avec deux hommes, un que j’appelle « mon chenapan » et un autre qui est mon Educateur. Si j’ai fait ce blog, c’est pour vous faire partager la complicité que je vis avec l’un comme avec l’autre.

Vous trouverez donc des récits de l’éducation de mon chenapan, de mon éducation par mon Educateur, de fessées que j’ai reçues ou données avec d’autres personnes. Il y a aussi des récits tirés de mon imagination comme un long récit sur la vie au pensionnat, Aline et Thierry et d’autres.

J’ai essayé de classer cela par sujet et que j’alimenterai régulièrement. J’espère que vous vous y retrouverez et aurez plaisir à y revenir. Merci pour votre visite et n’oubliez pas les commentaires, cela fait toujours plaisir.

vendredi 4 septembre 2015

La vie dans le pensionnat ... 14ème épisode


Il allume l’eau et pousse Hélène sous la poire de la douche. Il met du gel douche dans sa main, le fait mousser et commence à savonner le cou, puis le dos et les bras d’Hélène, il la fait se retourner et s’attaque à sa poitrine, il passe beaucoup de temps sur ses seins, pince ses bouts de sein entre ses doigts.
Il lui demande de mettre les mains sur les parois de la douche et d’écarter bien grand les cuisses. Hélène est un peu longue à obéir et reçoit deux claques à l’intérieur des cuisses.

  • Dites donc, vous vous dépêchez un peu ?je n’ai pas que cela à faire que de laver une petite gamine sale, moi.

Hélène ouvre bien les cuisses, les pieds bloqués par les murs de la douche. Le Père met du savon dans sa main et met sa main sur le sexe d’Hélène. Il lui demande de se baisser pour mieux écarter les cuisses et il a ainsi un accès plus large. Hélène obéit. Les doigts du Père passent entre ses petites lèvres, elle ferme les yeux envahie par des papillons de plaisir. Sa respiration s’accélère, le Père fait des allées/venues dans son vagin, ses lèvres, pénètre un puis deux doigts, Hélène sent le plaisir monter en elle, elle essaie de se retenir de geindre, le Père tourne un doigt autour de son clitoris et quand Hélène sent un orgasme venir, il arrête tout d’un coup et lui dit :

  • Mais dites donc Hélène, vous êtes une petite vicieuse, je vous fais votre toilette et vous êtes prête à jouir ? je vous rappelle que je suis un prêtre et de plus votre éducateur, pour qui me prenez-vous ?
  • Ahhhhhhh mon Père svp, continuez, j’ai tellement envie de jouir, dit-elle sans aucune retenue
  • Non mais petite dévergondée, tournez vous que je vous fesse sous l’eau.

Il aide à se tourner plus vite, la penche en avant, les mains sur ses chevilles, décroche la poire de la douche et la laisse couler sur ses fesses et commence à lui administrer des claques mouillées. Ses mains caressent parfois ses fesses et descendent entre la raie et pousse un doigt dans l’anus pour vérifier la propreté là aussi. Puis il met la poire de la douche par devant sur le sexe d’Hélène pour bien la rincer, lui explique t-il. Hélène sent les papillons revenir en masse et se débat pour ne pas se laisser faire, le Père attrape un tabouret, pose le pied dessus et penche Hélène par-dessus en la bloquant sous son bras. Il bloque la poire sur son genou entre les cuisses d’Hélène et continue de lui claquer les fesses mais sans colère, non au contraire pour donner du plaisir, et il lui dit :

  • Allez, laissez vous aller Hélène, nous sommes que tous les deux, vous en avez grand besoin, la journée a été chargée d’émotions. Vous voyez que je peux être très gentil aussi.

Des onomatopées sortent de la bouche d’Hélène qui sent des frissons lui parcourir tout le corps, elle ne peut plus réfléchir à sa position, ne sait plus où elle est, ni comment elle s’appelle, le père la bâillonne pour éviter d’alerter les troupes au moment où elle pousse un cri quand l’orgasme la submerge.

Le père attrape un peignoir de bain et enveloppe Hélène dedans, il l’essuie un peu et la prend dans ses bras le temps qu’elle redescende sur terre.

  • Et bien mademoiselle Hélène, je vois que vous avons trouvé un terrain d’entente tous les deux. Que cela reste entre nous évidemment, vos camarades de jeux n’ont pas besoin de savoir que le père n’est pas si méchant que cela
  • Oui mon Père, promis, je ne dirai rien.

Hélène se redresse et fait un clin d’œil derrière le dos du prêtre mais qui donc a assisté à la scène ?

Le Père fait le tour des dortoirs, tout le monde semble dormir. Il a un sourire réjouit, un sourire de celui qui croit avoir maté toutes ses demoiselles.

Ce n’est pas le tout mais il a une religieuse et un séminariste à punir. Il regarde sa montre et remarque qu’il lui reste 10 minutes pour rejoindre le donjon. Il passe à coté du lit de Chipinette et Aline. Elles dorment toutes les deux. Parfait, ainsi pas de voyeuses au donjon. Il sort du dortoir et à peine parti, nos deux complices s’assoient dans leur lit et se préparent à aller au donjon pour assister à la punition des deux religieux. Lilou arrive à coté de Chipinette, se penche sous le lit et bloque le système de poids et en fait de même pour Aline. Hélène et lady sont déjà prêtes à partir.

  • Quelle bonne idée Lilou que tu as eu en bloquant ainsi le système. Lady, tu as bien mis le somnifère dans la tisane de la sœur ?
  • Oui, t’inquiète pas, elle se réveillera demain matin comme une fleur.
  • Parfait, allons-y. Au fait Hélène, la vidéo est parfaite de tout à l’heure, dit Chipinette
  • C’est vrai ? interroge Hélène, tu me montreras cela demain ?
  • Oui bien sur et à tout le monde si tu es ok
  • Bien sur, j’ai pris un pied dingue, il est doué notre Père, dit-elle en riant
  • Allez, on se dépêche, dit Lilou, on va être en retard, et moi je veux tout voir.

Nos 5 camarades se dirigent vers le donjon discrètement. Elles sont très attentives au moindre bruit pour ne pas se faire prendre. 5 ombres se faufilent vers le donjon. Tout le monde semble déjà arriver à part la religieuse de garde dans le dortoir. Elles montent l’escalier qui va au grenier, elles s’allongent toutes et s’installent devant la latte de bois qui est défaite. Elles ont un vue magnifique sur l’estrade, lieu de punition par excellence.

On peut voir que le séminariste est encore habillé ainsi que la religieuse. Le père et la mère sup sont déjà entrain de faire la morale à ses deux là.

  • Vous comprenez mon Père, qu’il est inadmissible que ce séminariste ose faire les yeux doux à mes religieuses
  • Absolument ma chère Mère et cela mérite d’être puni très sévèrement, qui vous fera réfléchir si des idées vous reprenaient à vous fréquenter.
  • Mais nous nous sommes juste regardés, explique le séminariste
  • Taisez-vous, je ne vous ai pas demandé de parler, ordonne la Mère

Il baisse les yeux et se demande bien se qu’il va lui arriver. Le donjon est très particulier. Il a assisté à une fessée dans le réfectoire mais bon on ne va pas lui en mettre une à lui ou à la religieuse quand même. Ils ne sont plus si jeunes que cela. Ils ont passé l’âge de se faire fesser.

  • Tout d’abord, vous allez retirer tous les deux vos uniformes, vous n’êtes pas dignes de les porter. Vous resterez en sous-vêtements. Vous serez ensuite épilés puis fessés ou inversement et ensuite, euhhh…. Ce sera la surprise. Dit le père.

Nos deux comparses ouvrent la bouche pour protester mais un regard pénétrant de la Mère leur imposent de refermer la bouche et de se taire.

Ils se déshabillent, le père prend la religieuse par le bras et l’emmène vers le banc à fessées. Il la penche pour qu’elle se positionne. La mère en fait autant avec le séminariste et lui interdit de bouger. Le séminariste acquiesce. Ils sont placés l’un à coté de l’autre mais en sens inverse ainsi chacun d’entre eux verront les fesses de l’autre. Le père et la mère se placent sur la gauche des jeunes gens, soit face à face, posent leurs mains sur le dos et sur les fesses de chacun d’eux. Le père annonce qu’ils recevront 100 claques. Les 50 premières seront mises sur la culotte et les 50 autres sans. Le père est placé à coté de la religieuse et la mère à coté du séminariste. De plus ils seront fessés en même temps. S’ils bougent, ou crient, les claques augmenteront.

Les deux fesseurs se regardent d’un air complice et lèvent leur main et la laissent retomber en même temps. Cela raisonne dans la salle du donjon, les religieuses poussent un petit cri en sursautant. La mère exige le silence si elles ne veulent pas prendre leur place ensuite. Le silence plane dans la salle.

 

8 commentaires:

  1. Je savais bien que le Père n'était pas si méchant qu'il en a l'air. Comme quoi il ne faut pas juger les gens trop rapidement, à l'emporte-pièce, et prendre pour du vice ce qui n'est, somme toute, qu'une forme un peu poussée d'humanisme.

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    1. rhoooooooo alors là quand même, quelle mauvaise foi Max!! on sent la solidarité masculine et rien qu'elle!!

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    2. Euh non... Chacun de nous a sa part d'humanité ici bas ...

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  2. mais quel pere vers je confirme rohhhh et cette helene quelle petite vicieuse! jai pris un plaisir fou a te lire ma Sunny :) la suiteeeee

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  3. et mon commentaire il a disparu :(

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