Bonjour à vous qui pénétrez sur mon blog Mi-ange/Mi-démon. Tout d’abord, pour les personnes âgées de moins de 18 ans, merci de cliquer sur la petite croix rouge en haut à droite et BYE.

Bon maintenant que nous sommes entre adultes, je vous laisse découvrir ce blog. J’ai la chance de jouer dans le monde de la fessée, avec deux hommes, un que j’appelle « mon chenapan » et un autre qui est mon Educateur. Si j’ai fait ce blog, c’est pour vous faire partager la complicité que je vis avec l’un comme avec l’autre.

Vous trouverez donc des récits de l’éducation de mon chenapan, de mon éducation par mon Educateur, de fessées que j’ai reçues ou données avec d’autres personnes. Il y a aussi des récits tirés de mon imagination comme un long récit sur la vie au pensionnat, Aline et Thierry et d’autres.

J’ai essayé de classer cela par sujet et que j’alimenterai régulièrement. J’espère que vous vous y retrouverez et aurez plaisir à y revenir. Merci pour votre visite et n’oubliez pas les commentaires, cela fait toujours plaisir.

samedi 10 octobre 2015

La vie dans le pensionnat... 17ème épisode


Elles attendent un petit moment pour être sures qu’ils soient bien partis. Puis elles descendent doucement les marches de l’échelle. Lilou en tête, elle regarde doucement par la porte entrouverte, et fait signe aux autres de venir. Elles rentrent sans faire de bruit au dortoir, la sœur de garde dort profondément ainsi que toutes les élèves. Elles se font un coucou et Lilou leur dit de ne pas oublier de débloquer les lits, on ne sait jamais. Les autres acquiescent de la tête. Et tout ce petit monde part dormir, leur nuit sera un peu courte.

Le lendemain, une voix résonne dans le dortoir :

  • Allez debout mesdemoiselles, tout le monde à la douche et je serais là pour superviser tout cela.

Les filles émergent doucement quand soudain la couette de Chipinette vole à travers la pièce.

  • J’ai dit debout mademoiselle et de suite
  • Oui mon père je me lève.
  • Présentez-moi vos mains immédiatement, dit le père

Chipinette se réjouit à l’intérieur d’elle, avec la solution hydro alcoolique, il ne sentira rien du tout et toc. Le père sent ses mains et la regarde droit dans les yeux :

  • J’espère que vous avez obéi à mes consignes jeune demoiselle
  • Oui mon père, pas de caresse et j’ai obéi, dit-elle tout en pensant à l’orgasme magnifique qu’elle a eu hier soir en repensant à la fessée de la mère.
  • Parfait, alors à la douche maintenant.

Toutes les filles se dépêchent d’aller sous la douche avant que le père n’arrive mais il est rapide et il installe son poste d’observation en plein milieu des douches pour ainsi voir toutes les filles. Certaines essaient de se cacher mais elles sont immédiatement reprises en recevant des claques sur les cuisses.

  • On se dépêche, on se dépêche, le petit déjeuner vous attend. Je vous rappelle que je ne veux plus voir aucun poil ce soir sur ces foufounes là. Allez, vous passez une par une devant moi que je note qui n’est pas encore épilée. Très bien, oui bien, très obéissante la blonde frisée, ahhh là je vois encore pleins de poils, il faut œuvrer sinon je vais devoir le faire moi-même.

Le père est fier de son effet et son sourire est épanoui. Ses mains sont très baladeuses sous prétexte de bien vérifier, ses doigts s’égarent par ci, par là. Ensuite il se dirige vers le bâtiment de l’administration où la mère l’attend.

  • Bonjour ma belle, alors bien dormi cette nuit ?
  • Oh oui comme jamais et toi ?
  • Bien sur, comme un bébé. Cela fait du bien. Bon alors nous allons attendre qu’elles soient en cours pour faire une fouille des chambres, je suis sur que Lilou ne prend pas son argent sur elle donc je vais la coincer pour cela, désobéissance au règlement.
  • Excellente idée, mais bon là il nous faut aller à la chapelle, c’est l’heure de la prière et nous avons pleins de choses à nous faire pardonner, dit-elle en riant.
  • Oui tu as raison, dit-il en lui mettant une claque sur les fesses.

Toutes les sœurs se dirigent vers la chapelle et il ne reste plus que la fayotte pour surveiller le réfectoire puis la récréation.

Chipinette se fait discrète et part avec l’aide de ses coupines vers le bâtiment administratif. Elle regarde furtivement s’il y a quelqu’un, personne à droite, personne à gauche et hop elle file comme l’éclair vers le bureau de la secrétaire. Elle a déjà utilisé cet ordinateur, la secrétaire avait laissé trainer les codes, cela lui avait valu une sévère punition. Chipinette branche son téléphone sur l’ordi et s’envoie sur sa boite mail le contenu des photos et vidéos prises hier. Elle est tentée d’envoyer de suite tout cela à l’évêché mais elle a envie encore de s’amuser. Elle prépare le mail avec l’adresse et le met en brouillon. Elle efface l’historique de son passage, éteint l’ordi, efface les éléments compromettants de son portable, on ne sait jamais et remet tout en place et file vers l’entrée. Elle marche à reculons pour vérifier si rien ne traine et bing, elle se cogne à une personne, aie, aie, que va-t-elle trouver comme excuse, elle se retourne, et double aie, c’est le Père éducateur sur qui elle s’est cognée, pas de chance que ce soit lui, elle n’arrivera pas à le rouler. Il la regarde très sévèrement et semble attendre une explication de sa part :

  • Je vais devoir attendre longtemps le mensonge que nous essayer de trouver dans votre petite tête ?
  • Je ne vais pas vous mentir mon père, dit-elle, ce serait une injure à votre intelligence.
  • Pas de flatterie, je te prie, cela ne prend pas avec moi
  • Justement, voilà j’avais besoin d’un timbre pour envoyer une lettre à mon petit copain et je n’en ai plus
  • Tu pouvais la mettre dans le courrier en départ, dit le père
  • Oui mais comme j’ai eu peur que mon lettre soit lue, je voulais la faire partir discrètement lors de notre sortie de cet après-midi. Cela me gênait qu’on lise mes lettres d’amour
  • Tiens donc, tu as un amoureux, j’espère que tu n’as pas eu encore de rapports sexuels avec ce garçon

Chipinette devient rouge comme une pivoine en bafouillant :

  • Oh non mon père
  • Très bien, une faute en moins mais attention si tu me mens, je peux allez vérifier si tu es ou pas vierge
  • Oh non mon père, je ne vous mens pas, dit Chipinette en se croisant les doigts dans le dos.

Elle est très gênée par cette conversation.

  • Bon pour cette faute, je vais réfléchir à comment tu seras punie, mais tu le seras sévèrement, le vol est interdit dans l’établissement
  • Oh mais je n’aurais pas volé mon père, je voulais mettre l’argent à la place.
  • Ah très bien, mais cela est une faute quand même donc je t’attends dans mon bureau ce soir à 18 h et nous verrons ce qu’il t’attendra.
  • Bien mon père, dit-elle

Elle se dépêche de rejoindre ses coupines et leur raconte ses mésaventures. Elles sont désolées pour elle mais Chipinette leur rappelle que leur vengeance est proche et que cela en vaut le coup.

  • Dis donc Lilou, tu as entendu qu’ils veulent te choper aussi, il te faut faire attention, dit lady
  • Oh tu sais une fessée du père ne me déplairait pas tant que cela, surtout s’il me caresse ensuite la foufoune, dit Lilou très coquine.

Les 5 amies rient aux éclats. Deux paires d’yeux les observent.

  • Tu vois quand je te dis que rien ne peut les atteindre ses pestouilles là.
  • Ne t’inquiète pas, je réserve à la Chipinette une bonne correction, elle n’est pas prête de l’oublier. Allez, on a une fouille de dortoirs à faire.
  • Mais pour l’instant, nous avons la toilette de deux jeunes gens à faire, et il ne faudrait pas les faire attendre et pour pigmenter un peu la chose, on va la faire devant l’autre, ton séminariste va souffrir, dit la mère en riant.
  • Oh oui, on va bien s’amuser. Mais je suis sur qu’ils ont honte mais qu’ils sont heureux de ce que l’on fait subir.

 

12 commentaires:

  1. La suite ! la suite ! la suite !!!!

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  2. Chic! ça va être la fête à Chipinette!

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  3. Pauv Chipinette :( ceci dit c 'est po bien de voler

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    1. mais elle ne vole pas, elle fait croire qu'elle a eu besoin d'un timbre! pfffff!

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    2. voleuse et menteuse en plus ?! ah bin ça... Les gamines, de nos jours, plus aucun respect...

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    3. je ne te parle même pas des chenapans, les pires!!

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  4. Oui... pauvre Chipinette! Quand je pense à ses pauvres fesses! ... ça me fait quelque chose...

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