Madame dit toujours qu’une Gouvernante
a tous les droits sur le corps de son chenapan. C'est vrai. C'est en exerçant
ce pouvoir qu'elle affirme son autorité. Elle peut punir, déshabiller ou au
contraire imposer des tenues selon son bon plaisir. Par exemple Madame exige
que je sois en permanence jambes nues pour que je n'oublie jamais que je ne
suis à ses yeux qu'un gamin immature encore soumis aux châtiments corporels.
Selon ses désirs du moment, je peux être mis en slip ou tout nu. Parfois même
elle me fait mettre en jupe si je me suis conduit en petit coq prétentieux. Une
fois, j'ai même été mis au lit l'après midi en couche-culotte pour lui avoir
mal répondu.
Bref Madame a tous les droits sur le
corps de son chenapan. Mais ce dont j'ai rarement parlé c'est quand ce pouvoir
s'exerce sur le plus intime de moi-même : mon plaisir.
Madame veut dominer mon plaisir, le
contrôler. Elle prend le pouvoir sur mon plaisir. Elle sait le faire naître en
connaissant par cœur mes réactions. Je prends l'exemple du "supplice des
tétons". Madame sait très bien jouer avec mes petites pointes. Elle adore
ça. Pour une faute bénigne, elle peut les pincer a travers mes vêtements, les
tirer comme on tire l'oreille d'un vilain garnement qu'on conduit au coin.
Souvent le "traitement" des tétons se fait avec plus de raffinement.
Je dois me mettre "à bonne hauteur" c'est à dire à genoux à ses
pieds, relever mon polo pour mettre mes tétons à nu, mettre les mains sur la
tête pour m'offrir pleinement sans résistance. Madame sait faire durcir mes
petites pointes, elle les caresse, les fait tourner, les tiraille.... Quand
elle sent que le plaisir commence à s'installer au fond de mon ventre, elle se
fait plus cruelle et me les pince, les allonge... Elle sait que plus bas, dans
mon ventre, mon sexe se ramollit, le plaisir laisse la place à une douleur ambigüe.
Elle alterne alors. Se fait à nouveau plus douce jusqu'à ce que le plaisir me
fasse durcir les tétons et ... le sexe. Alors pour bien montrer qu'elle est la
maîtresse de mon plaisir, elle les pince, les tourne, les allonge pour que la
douleur me fasse ramollir. Elle joue ainsi jusqu'à ce que le jeu la lasse. Pas
question pour moi de jouir. Très souvent je porte cette cage de chasteté qui
bride mon érection et qui me rend dépendant du bon vouloir de Madame qui en
détient la clef. D'ailleurs, même si je ne suis pas encagé, je dois porter en
permanence l'anneau qui permet de la fixer en quelques minutes. Pas question
d'oublier un seul instant ma condition.
La cage de chasteté est le moyen de ma
Gouvernante pour dominer mon plaisir. Si j'ai eu la mauvaise idée de me donner
du plaisir sans autorisation, Madame me met en cage jusqu'à ce qu'elle daigne
me libérer. Je suis dépendant de son bon vouloir. Elle règne sur mon plaisir
bridé. C'est ainsi qu'elle accroit son autorité. Je suis alors prêt à toutes
les soumissions pour obtenir le droit de jouir. Je deviens plus obéissant
encore pour être enfin récompensé par le droit de jouir. La main-mise sur mon
plaisir est un moyen encore plus efficace et puissant que les punitions pour me
rendre plus soumis. Ainsi elle adore me faire mettre sous ses jupes, "en
adoration" comme elle dit. Elle regarde la télé et moi je dois fouiner mon
visage entre ses cuisses, le nez posé sur sa culotte "au bon
endroit" Elle sait que cela m'excite, que j'adore son odeur. Je n'ai
rien le droit de faire d'autre que de respirer Madame et d'avoir une érection
bridée par la cage de chasteté. Parfois mon sexe reste libre, le gland à vif
étranglé par ma bague de soumis, et se dresse en vain quémandant des caresses
dont je suis privé. Par contre dès qu'elle en ressent le désir, je dois
m'appliquer à lui donner un plaisir raffiné.
Même à distance, Madame contrôle tout,
la tenue, mais aussi mon plaisir. Gare à moi si je dois lui confesser que je
n'ai pas pu résister à l'envie de me caresser ! Gare à moi également si je lui
ai caché la vérité. Le mensonge à Madame est la faute la plus grave punie d'un
châtiment tellement humiliant que je préfère ne pas l'évoquer. La sanction
prévue par le règlement pour s'être caressé sans autorisation est le port de la
cage de chasteté pendant un temps déterminé. Madame aime jouer avec ce pouvoir.
Il lui arrive de m'imposer ce qu'elle appelle les "bains d'eau
glacée". Souffler le chaud et le froid en m'obligeant à me caresser devant
elle, mais de stopper brutalement au moment de la montée de ma jouissance en
m'imposant de tremper mon sexe en érection dans un grand verre d'eau avec des
glaçons jusqu'à ce que mon pénis rétrécisse et devienne ce qu'elle appelle avec
moquerie "un petit robinet de chenapan" . Puis quand mon sexe est en
piteux état, elle s'active à lui redonner vigueur et m'oblige à me caresser,
mais sans avoir l'autorisation de jouir. Alternance de plaisir et de
frustrations.... Si Madame est satisfaite et que j'ai su implorer avec suffisamment
d'humilité elle peut m'autoriser à me "soulager". C'est la récompense
d'un travail bien fait, d'un massage appliqué, d'un service impeccable.
L'autorisation de jouir peut se réaliser en privé : "file dans ta chambre
petit vicieux. Tu as cinq minutes pour te soulager." Elle m'a déjà obligé
à me caresser devant elle en position gynécologique dans un fauteuil, les
cuisses ouvertes passées derrière les accoudoirs ou accroupi (voir le Manuel
d'Education des Garçons écrit par Madame). Plus rare, mais assez humiliant,
elle me vide elle-même (expression volontairement avilissante) dans un kleenex
moi debout les mains sur la tête.
Parfois elle préfère maintenir la
pression et me brimer en refusant net toute libération de mon plaisir. Madame
est toujours imprévisible. Je me retrouve encagé, ou obligé de faire des tâches
ménagères en bouillant de frustration.
Oui Madame est aussi la maîtresse de
mon plaisir. Elle sait qu'un chenapan en frustration sera d'autant plus soumis
qu'on lui aura promis une jouissance en récompense d'une conduite exemplaire.
Mais ce n'est pas toujours le cas. Madame reste toujours la maîtresse de mon
plaisir... pour son plus grand plaisir !
Madame est très prévenante!
RépondreSupprimeroui toujours, que ne ferai je pas pour mon chenapan!! mdrr!
Supprimersuper ce texte que de complicité entre vous ca fait plaisir a voir enfin a lire ^^
RépondreSupprimergros bisous a vous deux
Merci ma belle! et oui notre complicité est de plus en plus présente et se ressent dans nos récits!!
SupprimerMerci Lady Dark. Il est vrai que ma complicite avec Madame s'est affinée avec le temps. Nous expérimentaons sans cesse de nouvelles sensations pour notre plus grand plaisir. J'espere qu'elle ne s'en lassera pas.
RépondreSupprimerme lasser?? de tes petites fesses?? impossible!! surtout quand elles sont rouges et que tu es au coin!! un pur régal!! bisous mon chenapan!
Supprimerje reconnais que des fesses de chanapans bien cramoisies c'est toujours superbes , tant que c'est pas les miennes bien sur lol
Supprimercontent que votre jeu se passe super bien et tres heureux de voir une telle complicité
VG
Madame est tout simplement une sadique. faut appeller un chat, un chat.
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